CLUB

I hope this weekend won this field, There are a hope Always With taraji ...................... ........ . .................. amiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin coupe

[Quote = "ibtihel1"] I hope this weekend won, There are a hope Always With taraji ...................... ........ . .................. amiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin coupe

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on y croie ,inchalla marbou7a

Trois « gorilles » du TP Mazembe agressent l'équipe de Hannibal TV

11/11/10 à 20:30

Selon notre confrère Salah Guadri, responsable du service sport de Hannibal TV, trois gardes- corps (qui ont la taille d'un gorille), du TP Mazembe, ont agressé le caméraman de Hannibal TV à l'aéroport de Palerme et lui ont confisqué sa caméra. L'équipe de Hannibal TV filmait l'équipe congolaise à l'aéroport de Palerme.

Il a fallu l'intervention de la police italienne pour la lui restituer.

Infosfoot.net

Conférence de presse

Benzarti : «Pour moi, le miracle existe»

Jeudi 11 novembre 2010

Faouzi Benzarti(1) : Nous poursuivons notre préparation comme nous l'avons fait tout au long de cette Coupe d'Afrique et nous n'avons rien prévu d'inhabituel en cette circonstance.

A Lubumbashi nous avons fait le match qu'il fallait mais les conditions d'arbitrage nous ont sortis du match. Nous n'avons jamais encaissé autant de buts et même en étant mauvais nous perdons par un ou deux buts d'écart, pas plus.

Pour le match retour de samedi, nous devons être réalistes et concentrés et surtout bien jouer comme nous l'avons fait en seconde période contre le Stade Tunisien le week-end dernier. Le TP Mazembe va jouer long, il faudra l'en empêcher. Nous serons efficaces à Radès comme d'habitude et nous retiendrons la leçon du match des groupes, soit trois buts marqués et trois autres ratés.

La victoire du titre sera un miracle mais pour moi le miracle existe.

Les joueurs sont déterminés. Nous avons commencé à préparer notre match retour dès notre montée dans l'avion au Congo. Par ses agissements, le TP Mazembe nous a sur-motivés. Je n'ai jamais vu autant de frustration et injustice.

Concernant Msekni, blessé, la décision de le faire jouer ou pas sera prise ce soir et je ne sais pas encore qui le remplacera le cas échéant.

Le scenario idéal serait de marquer deux buts dans le premier quart d'heure et puis on joue notre jeu.

Oussama Darragi : Ce sera un match difficile. TP Mazembe n'est pas facile à manier mais on se souvient bien de notre match des poule gagné 3-0 sans forcer. Nous restons concentrés et nous ferons plaisir à nos chers supporters.

Khaled Korbi : Ce ne sera pas facile, ils vont jouer en défense et on va marquer au début. Pour ma déclaration, je veux dire que ceux qui n'étaient pas au Congo ne peuvent imaginer ce que l'on a encouru là bas. J'ai dit ce que j'avais ressenti sur le terrain. Je n'ai jamais vu une telle injustice.

Pour moi, nous sommes déjà champions d'Afrique car TP Mazembe, sans les magouilles, n'arrive pas à la cheville d'Al Ahly ou de Sétif.

Faouzi Benzarti (2) : La présence du public a été énorme tout au long de la semaine au Parc et tout le monde sera derrière nous samedi à Radès et nous encouragera de bout en bout. Samedi, c'est la Tunisie qui jouera.

L'arbitre Sud africain Bennett est très bien et, justement, je veux un arbitrage impartial.

Regardez l'évolution de notre équipe en deux ans. Il n'y avait presque plus de joueurs de l'Espérance en Equipe Nationale, maintenant il y a huit ou plus internationaux. Cela prouve que l'on a progressé et c'est le plus important. Nous sommes en finale continentale et quel que soit le résultat final rien ne changera dans notre programme par la suite.

Si j'étais le président d'un grand club comme l'Espérance je ne participerais plus à cette Coupe d'Afrique qui ne nous apporte rien. Il y a certes trop d'argent en jeu mais tout est faussé. Ce n'est plus du sport, je préfère, en revanche, le championnat Arabe avec des équipes valeureuses, des déplacement plus court, pas de terrains en tartan ainsi que des dates plus adaptées à notre championnat et non pas jouer en plein juillet comme en CAF.

Pour l'éventuel départ de joueurs au mercato : je n'ai jamais retenu un joueur qui voulait partir, mais à condition qu'il soit titulaire dans une équipe européenne, sinon ce n'est pas la peine.

Enfin, concernant les rumeurs de mésentente au Parc, il n'y a rien de tout cela, vraiment rien, et les journalistes pour certains inventent n'importe quoi et associent le sport aux scandales gratuitement...

e-s-tunis.com

Point de presse du TP Mazembe

12/11/10 à 13:02

La délégation du TP Mazembe a tenu ce matin un point de presse à l'hôtel Le Palace, loin du lieu de résidence de l'équipe à l'hôtel "Le Shératon" de Tunis.

Lamine Ndiaye (Entraineur du TP Mazembe): Du cinquante cinquante

Après le match aller, il fallait couper l'euphorie, c'est pour cela qu'on a préféré de nous préparé loin de Lumbashi, dans un climat proche de celui de la Tunisie. Pour ce qui est du match, c'est du cinquante cinquante, mais on fera tout notre possible pour gagner.

Narcisse Ekanga

Aucune question n'a été posé au milieu de terrain du TP Mazembe.

Frederick Kitengie (Manager général du club): On nous a traité de singe

Je ne sais pas pourquoi vous avez ce sentiment d'injustice, je pense que votre gardien assume aussi une responsabilité dans le premier but, et sa réaction après le but est inadmissible. J'estime qu'il ne faut dramatiser à ce point, la presse Tunisienne nous a traité de singe...Les responsables de l'EST m'ont versé un sceau d'eau sur la tête, est ce que c'est un comportement de responsables ?

Infosfoot: Les petits du TP Mazembe , que vont-ils apprendre après le scandale de Lumbashi ?

Les journalistes d'infosfoot qui étaient présents sur place ont rejetés la balle dans le camp du vrai fautif en posant la question qu'il fallait à Monsieur Kitengie et en lui donnant malgré le refus de l'attaché de presse du club Eddy Kable(qui a dirigé le point de presse): Les écarts, il y en a eu des deux parties, mais on la Tunisie est un pays accueillant qui sait accueillir ses hôtes, d'ailleurs comme vous l'avez dit, vous n'avez remarqué aucun écarts, nous nous sommes toujours comportés avec tous les africains avec un esprit fraternel, mais ce qui s'était passé à Lumbashi est une honte, pour cela on vous demande que vont apprendre les petits enfants du TP Mazembe lorsqu'ils ont vu la honte de Lumbashi et qu'elle fierté avez vous après une honte pareilles ?

Notre question est malheureusement restée sans réponse...

Infosfoot.net

Rabbi m3ana inchallah

Issa Hayatou : « Je n’ai pas vu le match aller »

12 Novembre 2010 à 23:51

Arrivé à Tunis, le président de la CAF a été interpellé par l’équipe de HTV à laquelle il a donné une courte interview. Depuis plus de 20 à la tête de la plus grande instance footballistique du continent il a affirmé : « Je suis là pour la remise du trophée. Nous sommes toujours présents lors du match retour pour que la fête soit complète. Pourquoi nous ne programmons pas la finale sur un seul match dans un terrain neutre ? Nous avons déjà essayé et ça s’est disputé dans un stade vide. Nous n’avons encore pas les moyens en Afrique de faire comme nos voisins européens. Pour le développement du football dans notre continent nous devons maintenir la formule actuelle ». Hayato parle ensuite de la finale : « J’étais à l’hôpital et je n’ai pas vu le match aller. L’arbitrage ? Je ne peux pas me prononcer ».

Gnet

abouleith a écrit:: Issa Hayatou : « Je n’ai pas vu le match aller »

12 Novembre 2010 à 23:51

Arrivé à Tunis, le président de la CAF a été interpellé par l’équipe de HTV à laquelle il a donné une courte interview. Depuis plus de 20 à la tête de la plus grande instance footballistique du continent il a affirmé : « Je suis là pour la remise du trophée. Nous sommes toujours présents lors du match retour pour que la fête soit complète. Pourquoi nous ne programmons pas la finale sur un seul match dans un terrain neutre ? Nous avons déjà essayé et ça s’est disputé dans un stade vide. Nous n’avons encore pas les moyens en Afrique de faire comme nos voisins européens. Pour le développement du football dans notre continent nous devons maintenir la formule actuelle ». Hayato parle ensuite de la finale : « J’étais à l’hôpital et je n’ai pas vu le match aller. L’arbitrage ? Je ne peux pas me prononcer ».

Gnet

Comment se fait-t-il que le premier responsable de la CAF n'ait pas vu le match de l'aller? Encore un mensonge!
Si vraiment il ne l'avait pas vu en direct parcequ'il était à l'hôpital, il est plus que certain qu'il l'a vu en différé aprés tout ce qui a été dit et écrit sur ce fameux match.
Mais que voulez-vous, c'est ça le niveau des respensables de la CAF. Hayatou se dérobe pour couvrir ses semblables: des corrompus, des voleurs, des irresponsables ....

Finale retour de la ligue des champions : EST-TP Mazembé : 1-1

taraji ya dawla saf7a w nitwiwha w 9ol lé yosibouna ila ma kataba allahou lana

Manga a écrit:: Finale retour de la ligue des champions : EST-TP Mazembé : 1-1

taraji ya dawla saf7a w nitwiwha w 9ol lé yosibouna ila ma kataba allahou lana

bien dit manga

on est jeune et on a encore le temps, merci si hamdi, benzarti, kanzari, le staff complé, les joueurs et surtout notre cher public
taraji dawla, on pense a notre avenir et on tourne la page

taraji ya daoula

L'Espérance au fond de l'amer

Au-delà des apparences...Les équations de départ selon les goûts ou les humeurs nous apparaissent comme étant la conséquence d'une déformation qui a conditionné l'équipe espérantiste au-delà de sa réelle vocation.

L'impression que l'on peut avoir à propos des prestations de l'Espérance dans sa double confrontation avec le TPMazembe concerne un groupe incapable de rendre simple les choses compliquées sans jamais parvenir à valoir son droit de s'imposer.

On a rêvé, sans que cela se vérifie sur le terrain, d'une équipe prête à tout faire pour défendre la primauté des valeurs sportives, les vraies. Celles qui donnent la possibilité d’empoigner son sujet avec autorité et détermination tout en prenant compte de la nécessité des adaptations. De certaines exigences.

Le souvenir nous échappe, en quelque sorte, de pareils fléchissements de la part de l'équipe espérantiste, habituée à un genre de comportement tout autre et d'une plus grande envergure. Que ce soit à Lubumbashe ou Radès, il y avait quelque chose qui empêchait les joueurs de s'exprimer pleinement et à travers une marge de liberté dans le jeu.

Si on tenait à ce que les "Sang et Or aient vraiment un style et une raison d'être sur le terrain, on aurait dû favoriser un comportement tourné autour des priorités d’un autre genre et qui, de toute évidence, ressemblent à ceux que l’on est censé rencontrer dans les moments difficiles.

Comme le fait d'avoir la nette conviction de pouvoir forcer son destin. Dans un pareil contexte et à travers autant de contraintes, l’on ne saurait être accessible à tel ou tel relâchement. A un football de bas étage.

Les priorités espérantistes telles qu'elles s'étaient imposées au lendemain de la débâcle du match aller n'étaient pas au fait difficiles à deviner. La valeur de l’effectif dont disposait l'entraîneur imposait des considérations de jeu mieux adaptées, en tous les cas beaucoup plus assumées que ce que l’on a pu constater au stade de la finale de la Ligue des champions.

De par ses aptitudes, l'Espérance était capable de mieux et de plus. Les dispositions et les qualités d'un bon nombre de joueurs devaient susciter plus d'inspiration dans le jeu et une manière de gérer le match conforme aux véritables besoins de l'équipe.

Incontestablement, l'EST avait particulièrement intérêt à échapper au cumul d’insuffisances et de défaillances qui l’empêchent du reste à faire face aux exigences du haut niveau. La question qui ne cesse de revenir concerne justement les aptitudes de l'équipe. Que lui manque-t-il justement pour que son parcours, dans ses différentes étapes, soit à la hauteur de ses aspirations ? De quoi aurait-elle besoin dans un environnement footballistique en grande mutation ?

Il nous semble que l'équipe espérantiste éprouve beaucoup de mal à s’adapter au modèle incontournable qu’il aimerait bien reproduire.

Souvent placée à l'échelle continentale, rarement élue, elle était pourtant tenue de savoir, sans doute plus que toute autre équipe, que les résultats, les exploits ne se revendiquent pas, ils se méritent. Elle aurait pu dans cette perspective donner un autre sens à son parcours, à son "destin" africain.

L'on ne cessera jamais de le répéter, autant que cela demeure nécessaire : l'EST devait faire appel dans chaque épreuve au respect du jeu et de ses valeurs. Si elle tient vraiment à se mette en marche et à se donner le droit de défier des adversaires qui ont pris une plus grande dimension, elle n'a désormais qu'une seule alternative. Celle d'un projet de jeu qui s'adapte aux véritables besoins de l'équipe et qui ne soit pas le plagiat d'autres modèles. Quelque part, la formation espérantiste aurait besoin de la notion de l’exception. Elle ne peut pas, elle ne doit pas être une équipe ordinaire, statique, mais plutôt celle qui évolue sans cesse tout en donnant à ses joueurs l'opportunité d'apprendre et de prendre la bonne direction, surtout lorsqu’elle se trouve dans l'obligation d'agir sur le cours des événements.

"Abîmée" par le système

Cela n'a pas été jusqu'ici le cas en Ligue des champions et, pourtant, elle avait vraiment de bonnes raisons pour le faire si elle avait réellement pensé à fonder le jeu sur les prédispositions naturelles de ses joueurs, à développer jusqu’au bout l’idée du rendement collectif et des convictions partagées.

La confusion qui a régné au sein de l'équipe à l'occasion de la finale africaine n'est pas le fruit du hasard et ne date pas non plus d'aujourd'hui. Elle se projette dans le temps et dans l'espace en ce sens qu'elle traduit une accumulation d'insuffisances et de manquements de tout genre, au point que l'on ne parvient plus, dans l'état actuel des choses, à trouver les solutions les plus adéquates.

Pourtant, les prises de position continuent toujours à être édictées par les acteurs eux-mêmes, dans des rôles similaires et avec les mêmes alternatives. A chaque fois, on espère que cela puisse un jour s'améliorer. Mais les mesures proposées sont assez symptomatiques de la manière avec laquelle on appréhende l'équipe et on juge les dispositions des joueurs.

On voudrait qu’ils soient bons et à la hauteur des aspirations et des ambitions, qu'ils se donnent pleinement sur le terrain. Mais sur le terrain, ce n'est pas aussi simple que cela et ça peut aller autrement. Ce que l'on demande, ici et là, ce que l'on suggère, ce qu'on voudrait aussi imposer n'est pas aussi facile à mettre en place que ce que l'on croit, ou encore ce qu'on a voulu faire croire.

Il nous semble que c'est à ce niveau-là que l'on serait tenté de creuser les idées, d'élever les débats. On s’épargnerait ainsi des polémiques stériles... Les équations de départ selon les goûts ou les humeurs nous apparaissent comme étant la conséquence d'une déformation qui a conditionné l'équipe au-delà de sa réelle vocation.

Auteur : Jallel MESTIRI

La Presse du 15/11/2010

Football - Ligue des champions de la CAF

le 15/11/2010 - 10:55

Kenzari : « On nous a volés ».

C’est un Maher Kanzari visiblement déçu qui s’est présenté en conférence de presse, au terme du nul de l’Espérance Tunis face au TP Mazembe (1-1), en finale de la Ligue des Champions. Battu mais pas abattu, l’entraîneur adjoint de l’EST n’a pas caché sa tristesse même s’il veut retenir le positif.

« On est déçu, c’est sûr. Mais on a essayé de tout faire. On s’est laissé surprendre malgré un bon début. Il y avait une véritable volonté de jeu mais le tournant, c’est ce carton rouge. La mission était déjà difficile à onze mais, là, à dix... En deuxième période, c’était trop dur. C’était de la folie. Beaucoup de nos joueurs n’y étaient pas mentalement. Certains ont même déserté leur poste... » C’est en ces termes que Maher Kenzari s’est confié au site afrik-foo.com.

Et de rajouter : « Mais comment pouvez-vous dire que nos joueurs n’étaient pas préparés ?! C’est la finale de la Ligue des Champions, quand même. On ne l’a pas pris à la légère. Remonter quatre buts à dix, c’est très très dur... La préparation était là, l’encadrement était suffisant... »

Kenzari est également revenu sur l’expulsion de Ben Amor, qui aurait craché sur un adversaire congolais : « Ecoutez, je ne l’ai pas vu. Si vous me dites que le joueur est coupable, eh bien, il y a une faute flagrante. Et cela ne va pas se passer comme ça. On a fait ce qu’on pouvait. On méritait ce titre mais on nous l’a volé. L’Espérance a développé un bon volume de jeu en début du match, matérialisé par un but. Le carton rouge de Ben Amor a été le tournant de la rencontre. Malgré tout, on s’est créé de bonnes opportunités de marquer. Mais, c’était sans compter avec la précipitation. »

Pour conclure, Kenzari positive et assure que le bon parcours des Sang et Or est annonciateur de belles choses pour le futur : « Bien sûr ! On est vice-champions d’Afrique, ce n’est pas rien. On est vice-champions d’Afrique avec une équipe jeune. C’est positif. C’était notre première expérience à ce niveau : cela fait plus de dix ans que l’Espérance n’a pas été en finale d’une Coupe d’Afrique. Bien sûr que c’est positif. On avait un fol espoir. Poussés par un tel public, on se disait... Mais, maintenant, il faut tourner la page. Certains joueurs ne seront pas là la saison prochaine, il faudra les remplacer même si on voudrait les garder tous. Ils ont évolué à un très haut niveau cette saison. On a travaillé sur le court et le moyen terme pour nous installer à l’échelle régionale et nationale. Le niveau continental, c’est du bonus. »

Europsport

Football - Ligue des champions de la CAF
le 16/11/2010 - 11:58
L’Espérance va-t-elle boycotter les compétitions africaines
?

Eurosport
Les lendemains de défaite sont toujours difficiles, surtout pour l’Espérance battue dans des conditions rocambolesques par le TP Mazembé. Le dépit des dirigeants tunisiens n’a d’égal que le doute qui hante les esprits tunisiens sur le bon-fondé d’une participation en compétitions africaines.
Inutile de décrire la frustration et la déception qui se lisaient sur le visage du président de l’Espérance quelques minutes après la finale retour de la ligue africaine samedi dernier. Hamdi Meddeb était tellement dépité qu’il envisage d’ores et déjà de tourner le dos aux compétitions africaines. « Qu’avons-nous tiré de cette participation ? s’est-il interrogé en s’adressant à la presse internationale présente au stade Radès.
Et Meddeb de rajouter : « L’Espérance a tout mis en œuvre pour offrir cette coupe à la Tunisie et à ses supporters. Finalement, elle n’a rien tiré à partir du moment où elle a été carrément volée. Je vous fais gré des dépenses que nécessitaient nos déplacements à travers le continent africain outre le mauvais accueil qui nous était réservé un peu partout. »
En son for intérieur, Hamdi Meddeb est en effet plus que persuadé que, s’il y a une équipe qui mérite le titre de champion d’Afrique, c’est bien l’Espérance.
Le président de l’Espérance n’a pas caché son intention de renoncer à la prochaine ligue africaine en sa qualité de détentrice du titre au terme de la saison 2009-2010. « J’estime que les compétitions arabes sont beaucoup plus rentables à tous les niveaux a-t-il conclu, voyages beaucoup moins longs et moins onéreux, les stades sont en bien meilleur état que ceux que nous avons foulé à travers les terrains africains, du coup le niveau du football est de meilleur qualité. Reste l’arbitrage, je reste persuadé qu’il est bien meilleur et je n’ajouterai pas autre chose. »
Alors s’agit-il d’une saute d’humeur d’un dirigeant outré par les erreurs d’arbitrage ayant émaillé la finale de Champions League. Ou bien s’agit-il plus simplement d’un calcul effectué par un gestionnaire soucieux d’optimiser la rentabilité du club tunisien ?
Nul ne peut le dire. Mais il serait fort étonnant qu’un club de l’acabit de l’Espérance tourne le dos à la plus prestigieuse des compétitions africaines.
eurosport

slt a tous je suis enormemen dsl pour le rendemen 2 larbitr de l'aller et ossi pour la reaction des tunisien face a cette défaite taraji est un grand ekip plus grand ke tou et je souhait ke le staf technik ne sinfluence pas avec ce ki a ete passer labas et ici je trouv pa les mo mai taraji ya dawla et g kelk choz a dir pour les clubist
il ne fo pa comparer les incomparabl faites attention vous etes tro loin de nous.....
merci

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